Sous les cendres de la défaite, à l’ombre des mécanochimères de Teutonia, couve le feu de la révolte. Bravant tous les dangers dans les entrailles secrètes de Paris occupé, Loïren et Morkhaï, rejoignent les forces de la résistance. Car Faëllia. tombée aux mains de la pègre parisienne, va être vendue pour le plaisir de la soldatesque teutonienne. Mais derrière l’elfe, la femme s’éveille, résistante, combattante, une femme qui usera de toutes ses armes pour affirmer son droit à vivre libre et à aimer. Alors que les troupes amérindiennes s’approchent de Paris, le dernier combat commence; mais pour vaincre l’Überkaiser il faut plus que des armes et de la magie… et les prophéties ne disent pas tout. La femme apprivoisait l’elfe, s’emparait de ses membres, guidait ses mains, ses hanches, ses cuisses… D’une fille fée, elle faisait une déesse, une déesse nocturne, qui jouait du désir comme d’autres d’une lame.